La 6e mission de suivi du projet de gestion intégrée des catastrophes et des terres (PGICT) a débuté jeudi.
Un projet financé en partie par la Banque mondiale pour 16 millions de dollars.
Les experts doivent étudier les progrès réalisés dans la gestion des mesures de sauvegarde environnementale et sociale, des ressources naturelles et du renforcement institutionnel.
La mission s’achèvera le 5 août par une série de recommandations pour améliorer l’ensemble du dispositif.
Lancé en 2013, le PGICT a pour but de renforcer les capacités institutionnelles pour la gestion des risques d’inondations et de dégradation des sols dans les zones rurales et urbaines.
Il a également comme finalité de garantir la gestion durable des terres dans les écopaysages ciblés et les zones soumises aux aléas climatiques.