Dans le primaire et le secondaire, les salles sont surpeuplées. Des dizaines d’élèves s’entassent dans des classes qui n’ont pas été conçues pour accueillir autant de monde.
De nouvelles écoles ont certes été construites, mais le taux de natalité est plus rapide que la mise en chantier de nouvelles écoles et lycées.
Ce sureffectif a évidemment des conséquences fâcheuses sur la qualité de l’enseignement.
L’Union des fondateurs d’écoles privées laïques propose une solution temporaire pour désengorger les écoles pleines à craquer.
Les établissements privés pourraient recevoir un certain nombre d’élèves du public pour pallier au sureffectif.
‘Nous nous limiterons à ne prendre que les frais de scolarité payés par les élèves dans le public, juste pour rémunérer nos enseignants’, a indiqué mardi Kokou Bédji Tchanlévo, le responsable de l’UFEPLA.
Dans cette optique, l’organisation se dit prête à signer une convention de partenariat avec l’Etat.