A l’initiative des autorités togolaises et du Département de l’Environnement du ministère américain de la Justice, des procureurs et des juges de cinq pays d’Afrique (Gabon, Ghana, Niger, RCD et Togo ), sont réunis depuis lundi à Lomé pour définir une politique commune face au braconnage et au trafic d’espèces protégées.
Deux ministres participent à cette rencontre, ceux de l’environnement et de la Justice en compagnie de l’ambassadeur des Etats-Unis au Togo, David Gilmour.
Pendant 5 jours, les participants vont s’attacher un définir un cadre favorisant des sanctions uniformes et plus lourdes contre les trafiquants. La détection et la répression doivent s’amplifier pour mettre un terme au fléau. Il faut mettre fin à l’offre relativement importante et à une forte demande venue d’Asie.
Près de 200 kg d’ivoire ont été saisis au Togo l’année dernière et près de 7.000 en 9 ans.