86 personnes interpellées lors des manifestations des 6 et 7 septembre derniers ont été relâchées, indiquent mercredi des sources judiciaires.
En revanche, les manifestants arrêtés lors des manifestations violentes du 19 août restent en détention. La plupart sont accusés de violences à l’encontre des forces de l’ordre, de destructions de biens publics et de pillages.
Des visites médicales ont démontré qu’aucun d’eux n’avait subit de torture comme colporté sur les réseaux sociaux.