Il y a 25 ans, le monde faisait une promesse aux enfants : faire tout ce qui est possible pour protéger et promouvoir leurs droits de survivre et de se développer, d’apprendre et de s’épanouir, de faire entendre leur voix et d’atteindre leur plein potentiel.
Un quart de siècle plus tard, la Convention relative aux droits de l’enfant (CDE) a permis de réaliser des avancées majeures, qu’il s’agisse de la baisse de la mortalité infantile, de la hausse du nombre d’élèves scolarisés, ou des horizons nouveaux qui s’ouvrent aux filles.
Malgré ces progrès, de nombreux enfants restent encore à la traîne. Les défis anciens se sont combinés à de nouveaux problèmes et privent de nombreux enfants de leurs droits et des bienfaits du développement.
Dans un message publié à cette occasion, la ministre de l’Action Sociale, de la Promotion de la femme et de l’Alphabétisation, Dédé Ahoéfa Ekoué, a rappelé tout ce qui a été entrepris par le Togo dans ce domaine : code de l’enfant, accès aux services sociaux (santé, éducation), parité fille/garçon, projets solidaires, gestion des enfants en situation de détresse, création d’un Conseil consultatif des enfants, …
Défis persistants à relever
‘Alors que nous célébrons les avancées en matière de protection et de promotion des enfants, nous ne devons pas perdre de vue que nous avons des défis persistants à relever dans ce domaine, dont les plus importants sont les violences physiques et sexuelles, la traite et le travail des enfants’, a-t-elle déclaré.
La Convention relative aux droits de l’enfant est le premier instrument juridique international ayant force obligatoire qui énonce toute la panoplie des droits de l’homme, civils, culturels, économiques, politiques et sociaux. En 1989, les dirigeants mondiaux ont décidé que les enfants devaient avoir une convention spéciale juste pour eux, car les moins de 18 ans ont souvent besoin d’une protection et d’une assistance particulière.
Information additionnelle
Message Dédé Ekoué.pdf
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