A l’issue de son conseil national, le Comité d’action pour le renouveau (CAR, opposition) a annoncé qu’il ne présenterait pas de candidat à l’élection présidentielle du 22 février prochain.
La veille, un responsable de cette formation avait pourtant affirmé le contraire.
Le CAR estime que les conditions ne sont pas réunies pour un scrutin fiable. Et il a annoncé le départ de ses représentants à la Céni (Commission électorale).
Pas vraiment un boycott de l’élection, mais pas d’engagement clair non plus pour son bon déroulement.