Le CFMI doit trouver son modèle économique
Fruit de la coopération franco-togolaise, le CFMI a débuté ses activités en 2015 grâce à l’appui de l’Agence française de développement (AFD).
Fruit de la coopération franco-togolaise, le CFMI a débuté ses activités en 2015 grâce à l’appui de l’Agence française de développement (AFD).
A ce jour, environ 500 personnes ont reçu une formation avec un taux d’insertion proche de 80%.
Le CFMI forme chaque année des centaines de Togolais aux métiers de l’électromécanique, de la climatisation, de la mécanique diesel et industrielle.
‘Nous sommes fiers d’accompagner ce projet pour sa pérennisation’, confie François Jacquier-Pelissier, le directeur de l’AFD au Togo.
‘Le challenge est maintenant d’accroitre les capacités d’accueil et de formation de ce centre d’excellence Cette nouvelle étape permettra de renforcer son positionnement dans la sous-région’, explique-t-il.
Si l’initiative a démontré sa pertinence, il faut que le CFMI trouve son modèle économique afin de devenir autonome. Autrement dit, devenir indépendant financièrement sans l’appui des bailleurs.