Le Cercle de dirigeants pour la prévention et la répression de l’exploitation et des atteintes sexuelles dans les opérations des Nations Unies a vu le jour il y a un an.
Les chefs d’État et de gouvernement ayant adhéré à ce mouvement ont convenu de s’engager personnellement et de montrer leur solidarité avec le secrétaire général des Nations Unies en soutien aux victimes, et, le cas échéant, prendre des mesures pour mettre un terme à l’impunité et demander des comptes aux responsables.
Le président togolais Faure Gnassingbé fait partie de ce Cercle. Logique, le Togo est un important contributeur aux forces des Casques bleus (Mali, RDC, Darfour …).
Parmi les autres membres figurent les présidents d’Argentine, de Bulgarie, d’Estonie, des Etats-Unis et les Premiers ministres de Grande Bretagne, du Japon, des Pays Bas ou encore la Chancelière allemande.
Le Cercle a publié jeudi une déclaration commune pour réaffirmer l’engagement personnel des leaders mondiaux pour combattre l’exploitation sexuelle et les abus au sein de système des Nations Unies.
‘Ensemble, nous réaffirmons notre engagement à faire de la tolérance zéro, à l'égard de l'exploitation et des abus sexuels une réalité. C’est un impératif moral et urgent, ainsi qu’une nécessité opérationnelle pour assurer l’efficacité et la crédibilité de l’ONU dans le monde entier, indique le communiqué.
Le texte a été publié au moment ou se tient l'Assemblée générale de l'ONU.
Information additionnelle
Déclaration collective.pdf
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