Payer des impôts n’est jamais très agréable, mais c’est l’unique moyen pour un pays de développer son réseau routier, de moderniser l’éducation, de construire des hôpitaux. Au Togo, certains sont encore réticents à cette idée, en particulier dans le milieu des transports.
Or, les taxis-motos ou les compagnies de bus sont assujettis à l’impôt sur les revenus des transporteurs toutiers (IRTR).
Pour vérifier que tout ce petit monde est bien en règle pour le 3e trimestre, la direction générale des impôts (DGI) lancera du 1er au 31 décembre des opérations de contrôle sur l’ensemble de territoire.
La directrice générale de la DGI, Ingrid Awadé, a prévenu jeudi que des pénalités seraient appliquées pour tout retard.