Face à la baisse constante de l’aide publique au développement, le Togo, comme les autres pays d’Afrique, doivent trouver de nouvelles solutions.
Le partenariat public-privé (PPP) est une alternative crédible dès lors que les projets proposés sont viables. Les investisseurs ne mettront pas un centime juste pour faire plaisir.
Le Togo a donc besoin des PPP, notamment pour relancer le secteur agricole avec le déploiement d’agropoles de transformation.
Le Centre autonome d’études et de renforcement des capacités pour le développement du Togo (CADERT) se propose d’identifier les axes de collaboration et les filières à fort potentiel.
‘Les partenariats publics et privés (PPP) sont devenus un instrument en efficace pour la mobilisation de ressources dans le financement du développement, a indiqué jeudi Odilia Gnassingbé, directeur exécutif par intérim du CADERT.
Les pouvoirs publics espèrent attirer 500 milliards de Fcfa du secteur privé dans les 10 prochaines années pour le seul domaine agricole.
Pour assurer son développement à moyen terme, le Togo veut progressivement devenir un hub logistique d’excellence, un centre d’affaires de premier ordre dans la sous-région, et un marché régional de transformation agricole.