La société Nioto (partenaire du groupe français Dagris) qui fabrique au Togo des huiles de table veut apporter sa contribution à la protection de l'éco-système. Un terme à la mode en Occident et une priorité en Afrique.
Dans ce cadre, elle vient de fournir au laboratoire de gestion, traitement et valorisation des déchets de l'Université de Lomé (UL), à titre de test, un broyeur de désintégration. Coques de graines de coton et farine de karité, autant de déchets provenant de l'usine agro-alimentaire devraient ainsi à terme être recyclées pour en faire des fertilisants.C'est au laboratoire spécialisé de l'UL d'entamer maintenant les recherches pour parvenir à la réalisation du projet.
Nioto produit de l'huile de coton, de l'oléine de palme et de l'huile végétale. Elle emploie près de 300 personnes au Togo.