Trop de pluie ou pas assez, chaleur intense ou humidité excessive, les agriculteurs sont contraints de jongler avec le climat.
A l’initiative de l’Organisation africaine de la propriété intellectuelle (OAPI), des discussions se déroulent depuis lundi à Lomé pour tenter d’identifier de nouvelles techniques permettant de s'adapter aux aléas climatiques.
Si on ne peut freiner les éléments naturels, on peut les domestiquer. Cela passe, notamment, par l’identification de nouvelles variétés performantes pour le maïs, le riz, le sorgho susceptibles d'augmenter les rendements et de garantir la sécurité alimentaire.
‘Il faut trouver des variétés distinctes, homogènes, et stable pour parvenir à des rendement convenables, a indiqué Guy Francis Boussafo, l’un des responsables de l’OAPI.