Lancé en 2013, le PGICT, le projet de gestion intégrée des catastrophes et des terres, a pour but de renforcer les capacités institutionnelles pour la gestion des risques d’inondations et de dégradation des sols dans les zones rurales et urbaines.
Il a également comme finalité de garantir la gestion durable des terres dans les écopaysages ciblés et les zones soumises aux aléas climatiques en sensibilisant les communautés.
Le projet s’achève cette année.
Lors d’une rencontre mardi avec les responsables de la Banque mondiale, les principaux bailleurs, le ministre de l’environnement André Johnson, a rappelé que ce programme avait largement rempli sa mission.
Reste maintenant à lui donner une suite et à trouver les financements adéquats.
La BM au vu des résultats n’est pas opposé à financer un PGICT. Reste à préciser la forme que devra prendre ce nouvel appui. C’est justement l’objectif de la rencontre de ce jour. Il y en aura d’autres dans les prochaines semaines.