Asphalte dégradé, feux tricolores à peine installés détruits. Les opposants qui ont manifesté la semaine dernière sur le Boulevard circulaire n’ont pas un grand esprit civique, ni conscience des sommes engagées par l’Etat pour rénover le réseau urbain qu’ils réclamaient à cor et à cri depuis des années. C’est la constatation dressée vendredi par L’Union.
« A la moindre manifestation, on s’en prend aux biens publics ; ce n’est pas acceptable », écrit le journal.
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L\'Union N°508.pdf
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