
Les chefs traditionnels jouent un rôle clé au Togo, en tant qu’intermédiaires entre l’État et les populations.
Une rencontre s’est tenue récemment à Agoè-Nyivé, sous l’initiative du préfet Dr Tinaka Kossi, en collaboration avec la direction de la chefferie coutumière. Cet événement a rassemblé les six chefs cantons de la préfecture et leurs secrétaires, avec pour objectif principal l’enregistrement officiel de tous les chefs coutumiers et de leurs villages.
L’ambition derrière cette démarche, indique L’Economiste paru vendredi, est de mieux structurer et dynamiser l’organisation de la chefferie traditionnelle afin de renforcer son rôle et son influence au sein des communautés locales.
Les chefs traditionnels jouent un rôle clé au Togo, en tant qu’intermédiaires entre l’État et les populations. Ils sont garants des traditions, veillent à la gestion des conflits locaux, et participent activement au développement communautaire.
La chefferie traditionnelle constitue une institution essentielle qui contribue à maintenir la cohésion sociale et à renforcer l’autorité locale. En plus de leur rôle dans la préservation des valeurs culturelles, les chefs traditionnels sont consultés sur de nombreuses questions de gouvernance locale et de développement.
L'Economiste N°556.pdf
TéléchargerPour que ce site Web fonctionne correctement et pour améliorer votre expérience d'utilisateur, nous utilisons des cookies. Retrouvez plus d'informations dans notre Gestion des cookies.
Les cookies nécessaires activent les fonctionnalités de base. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies et ne peut être désactivé qu'en modifiant les préférences de votre navigateur.