Oui, l’UFC est bien un parti d’opposition. L’un de ses représentants siègera à la Commission électorale avec cette étiquette.
Ce n’était pas gagné d’avance, souligne jeudi Chronique de la Semaine. En effet, les députés de l’ANC et de l’ADDI expliquaient depuis plusieurs semaines que les élus de l’UFC n’étaient que des supplétifs d’UNIR (majorité présidentielle). Finalement, la raison l’a emporté avec la désignation mercredi des membres de la Céni.
Information additionnelle
Chronique de la Semaine N°300.pdf
Télécharger