Autour des kiosques, des dizaines de personnes s’agglutinent chaque jour pour lire les journaux sans les acheter. Ils se contentent de découvrir les grands titres de couverture sans pouvoir les feuilleter. Mais ça suffit pour entamer le débat et palabrer.
Un situation qui ne fait pas les affaires des éditeurs, souligne L’Union paru mardi.
Il est vrai que les Togolais n’ont pas les moyens de dépenser 250F par jour pour acheter un journal.
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L'Union N°1332.pdf
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