A reculons
A l’approche des élections législatives et régionales, certains partis d’opposition s’interrogent sur la nécessité ou non d’organiser ces scrutins.
A l’approche des élections législatives et régionales, certains partis d’opposition s’interrogent sur la nécessité ou non d’organiser ces scrutins.
Selon Nathaniel Olympio, le président du ‘Parti des Togolais’, ces consultations sont un artifice du régime pour empêcher l’alternance.
Au CAR, certains préconisent un report à 2025.
Certes, depuis 1990, l’opposition n’est pas parvenue au pouvoir par les urnes, mais c’est la seule voie démocratique pour y parvenir, a rappelé Isabelle Améganvi, vice-présidente de l’ANC.
Plusieurs formations d’opposition redoutent le verdict des électeurs. En participant aux législatives, elles redoutent de se faire laminer et de perdre toute influence. Ce qui explique la tendance à aller aux scrutins à reculons.