Politique
'Aucune parcelle de notre territoire ne doit être cédée aux terroristes’
Face à la menace terroriste, le gouvernement doit faire des choix.
Face à la menace terroriste, le gouvernement doit faire des choix.
‘Entre la promotion des droits de l’homme et l’intégrité du territoire, le choix est clair. Le territoire représente ce que nos ancêtres nous ont laissé et que nous allons léguer à nos enfants. Aucune parcelle ne doit être cédée aux terroristes’, a déclaré dimanche l’économiste Thomas Koumou, généralement très critique envers le pouvoir.
Certains activistes estiment que les restrictions imposées par les autorités en raison des risques sécuritaires sont en fait une façon de museler les liberté.
Pour Thomas Koumou, les critiques sont recevables, mais le défi terroriste prend le dessus et des concessions dans le temps sont nécessaires.
ARTICLES SUR LE MÊME THÈME
Gesticulation des opposants
La Chambre administrative de la Cour suprême a été saisie suite à l’interdiction par le gouvernement d’une journée de prière et de solidarité en faveur des ‘détenus politiques’, une initiative portée par le Front "Touche pas à ma Constitution", proche de l’opposition.
Plus de 68% des domaines de l’État sont occupés illégalement.
Les ministères de l’Administration territoriale, de la Décentralisation, de l’Économie et des Finances, ainsi que de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Réforme foncière, ont publié un communiqué pour alerter sur la situation préoccupante des domaines de l’État illégalement occupés dans le District Autonome du Grand Lomé.
Précarité ministérielle
Ancien ministre des Sports et actuel délégué national de l’Union des Démocrates Socialistes du Togo (UDS-Togo, opposition), Antoine Folly réclame un statut reconnu pour les anciens ministres avec, éventuellement, des indemnités versées sur le long terme.