Gesticulation des opposants
La Chambre administrative de la Cour suprême a été saisie suite à l’interdiction par le gouvernement d’une journée de prière et de solidarité en faveur des ‘détenus politiques’, une initiative portée par le Front "Touche pas à ma Constitution", proche de l’opposition.
La Chambre administrative de la Cour suprême a été saisie suite à l’interdiction par le gouvernement d’une journée de prière et de solidarité en faveur des ‘détenus politiques’, une initiative portée par le Front "Touche pas à ma Constitution", proche de l’opposition.
Les responsables de cette organisation ont déposé en début de semaine un recours auprès de la plus haute juridiction administrative, accusant le ministre de l’Administration territoriale, Hodabalo Awaté, d’abus de pouvoir.
Le Front a basé sa plainte sur une supposée violation des libertés publiques et le le caractère humanitaire de l’événement
Les responsables de l’organisation affirment que ce recours s’inscrit dans leur volonté de défendre les droits fondamentaux des citoyens et de promouvoir la démocratie.
La Cour suprême, conformément aux procédures judiciaires, devra d’abord se prononcer sur la recevabilité du recours, en examinant la qualité des plaignants à saisir la juridiction. Ensuite, elle jugera si les arguments avancés tiennent juridiquement.