L'Union des forces de changement ( UFC, opposition) et le Front républicain pour l'alternance et le changement (FRAC), un collectif de partis dont fait partie l'UFC, sont accusés d'être responsables des actes de vandalisme et de troubles à l'ordre public auxquels se sont livrés mardi leurs partisans à Lomé lors d'une manifestation, rapporte l’Agence Xinhua.
Selon un communiqué du ministère togolais de la Sécurité et de la Protection civile, de "petits groupes incontrôlés" de partisans de l'opposition ont commis "de multiples actes de vandalisme troublant sérieusement l'ordre public", indique le texte.
"Il est regrettable qu'en dépit de l'entente préalable, les responsables du FRAC et de l'UFC n'aient pu respecter leur parole pour contenir leurs militants", indique le communiqué.