Politique
La classe politique salue la mémoire de Mgr Philippe Kpodzro
Réactions au sein de la classe politique après la disparition de Mgr Philippe Kpodzro, archevêque émérite de Lomé et homme d’église engagé.
Réactions au sein de la classe politique après la disparition de Mgr Philippe Kpodzro, archevêque émérite de Lomé et homme d’église engagé.
‘Nous sommes attristés par le départ de cet homme de Dieu qui a toujours pris position contre l'injustice et l'arbitraire. Il a combattu jusqu’au bout et nous saluons sa mémoire’, a déclaré la secrétaire générale de la Convention démocratique des peuples africains (CDPA, opposition), Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson.
Pour l’opposant Agbéyomé Kodjo, ‘Le Togo est en deuil. Notre tristesse est immense et notre douleur vive face à la perte de ce grand arbre de la forêt africaine qui vient de tomber’.
Philippe Kpodzro ‘était un homme de conviction qui a su rester fidèle à ses idées’, estime Gerry Taama du NET.
Jean Kissi du CAR s’est déclaré ‘abattu' en apprenant la nouvelle de sa mort.
Gerry Taama souhaite que des funérailles nationales soient organisées.
Le prélat est décédé en Suède le 9 janvier à l’âge de 94 ans.
ARTICLES SUR LE MÊME THÈME
Gesticulation des opposants
La Chambre administrative de la Cour suprême a été saisie suite à l’interdiction par le gouvernement d’une journée de prière et de solidarité en faveur des ‘détenus politiques’, une initiative portée par le Front "Touche pas à ma Constitution", proche de l’opposition.
Plus de 68% des domaines de l’État sont occupés illégalement.
Les ministères de l’Administration territoriale, de la Décentralisation, de l’Économie et des Finances, ainsi que de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Réforme foncière, ont publié un communiqué pour alerter sur la situation préoccupante des domaines de l’État illégalement occupés dans le District Autonome du Grand Lomé.
Précarité ministérielle
Ancien ministre des Sports et actuel délégué national de l’Union des Démocrates Socialistes du Togo (UDS-Togo, opposition), Antoine Folly réclame un statut reconnu pour les anciens ministres avec, éventuellement, des indemnités versées sur le long terme.