Raphaël Kpandé-Adjaré, le président de la Ligue togolaise des droits de l’homme (LTDH) a fait part lundi de ses craintes concernant la situation des droits de l’homme au Togo.
La fermeture du bureau du HCDH à Lomé - pour des raisons budgétaires – et l’absence d’un ministère dédié au sein du nouveau gouvernement sont pour lui des motifs d’inquiétude.
Le Haut-commissariat à la réconciliation et au renforcement de l’unité nationale (HCRRUN) et la Commission nationale des droits de l’homme (CNDH) ne sont pas en mesure de régler les questions des droits de l’homme, estime l’avocat.