AK47, EEI : le danger est partout
Une concertation régionale sur la prévention de l’extrémisme violent et la gestion des armes conventionnelles en Afrique de l’Ouest se déroule à Lomé.
Une concertation régionale sur la prévention de l’extrémisme violent et la gestion des armes conventionnelles en Afrique de l’Ouest se déroule à Lomé.
Elle est organisée par le Centre régional des Nations Unies pour la paix et le désarmement (UNREC).
‘Le lien entre la prévention de l’extrémisme violent et la gestion des armes est une préoccupation réelle pour ceux qui sont engagés dans la recherche de la paix. Le contrôle des armes est un élément essentiel pour prévenir les conflits et la violence’, a déclaré Hodabalo Awaté, le ministre de l’Administration territoriale.
Selon l’officiel togolais, 80% des armes légères en Afrique sont détenues par des groupes ou organisations criminels ou terroristes.
Les armes circulent et il est très facile de s’en procurer.
Pour le Togo, c’est une préoccupation aiguë d’autant que le pays est confronté à la menace terroriste.
Selon les chiffres officiels, les attaques ont fait 31 morts.
Les djihadistes sont généralement équipés de AK47 et d’explosifs rudimentaires mais redoutablement efficaces.
Les engins explosifs improvisés (EEI) font des dégâts.