Plus de la moitié des accidents survenus en 2020 ont impliqué des motos (59,40%) et principalement des zémidjans.
D’après l’Union syndicale des conducteurs de taxi-motos, ces sinistres sont liés au manque de formation.
‘Nous avons noté un laisser-aller dans le recrutement des sociétés qui emploient les conducteurs, la qualité de la formation fait cruellement défaut, ce qui explique le nombre d’accidents", explique François Komlanvi Agbo, l’un des responsables de l’USYNCTAT.
L’organisation professionnelle plaide pour un appui des pouvoirs publics et pour l’obligation d’avoir un permis moto. Ce qui n’est pas le cas pour la plupart des pilotes.