Pas d'abus sexuel dans l'église et ailleurs

L’archevêque de Lomé, Mgr Nicodème Barrigah-Benissan, a rappelé qu’aucune tolérance ne serait accordée en cas d’abus sexuel au sein de l’église.

‘Nous ne voulons pas avoir des cas d’accusations d’abus sexuels, ni dans nos églises, ni dans nos écoles, ni dans nos centres de formation. Si cela arrivait, nous n’hésiterions pas à appliquer le protocole de protection des enfants contre les abus sexuels’, a prévenu le prélat qui s’exprimait lors de la clôture des travaux de l’année pastorale de son archidiocèse.

Les abus sexuels dans l'église sont des actes répréhensibles et scandaleux qui impliquent des actes de violence et d'exploitation commis par des membres du clergé ou des personnes en position d'autorité au sein de l'institution religieuse.

Ces abus peuvent causer des dommages physiques, émotionnels et spirituels aux victimes, souvent des enfants, des adolescents ou des adultes vulnérables.

Les cas d'abus sexuels dans l'église ont été rapportés dans de nombreuses régions du monde et ont été la source de profondes souffrances pour les victimes et leurs familles.

Ces affaires ont également entraîné des répercussions majeures pour les institutions ecclésiastiques, suscitant des remises en question sur la protection des fidèles et la nécessité d'une transparence et d'une responsabilité accrues.

De nombreuses églises ont mis en place des politiques de prévention, des procédures d'enquête internes et des mécanismes de soutien aux victimes.

Elles collaborent également avec les autorités civiles pour enquêter sur les allégations d'abus et poursuivre les auteurs en justice.