
Face à une recrudescence des plaintes pour nuisances sonores, notamment en milieu urbain, les autorités rappellent à l’ordre. Musiques à volume élevé, rassemblements bruyants ou activités générant un vacarme excessif perturbent le quotidien des citadins et nuisent à leur santé.
Face à une recrudescence des plaintes pour nuisances sonores, notamment en milieu urbain, les autorités rappellent à l’ordre. Musiques à volume élevé, rassemblements bruyants ou activités générant un vacarme excessif perturbent le quotidien des citadins et nuisent à leur santé.
Selon le ministère de la Sécurité, un bruit supérieur à 70 décibels en journée ou à 55 décibels la nuit constitue une nuisance sonore. « Ces seuils dépassés représentent une atteinte à la tranquillité publique », précise le commissaire divisionnaire Kpatcha Tchendo.
Au-delà de l’inconfort, le bruit excessif est un véritable enjeu de santé publique. L’OMS le classe comme le deuxième facteur environnemental le plus nocif après la pollution de l’air. Troubles du sommeil, atteintes auditives, impacts sur le cœur ou les vaisseaux sanguins : les risques sont multiples.
Les autorités insistent sur l’application des normes existantes et appellent à une prise de conscience collective. La lutte contre les nuisances sonores est aussi une question de vivre-ensemble.
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