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Le retour à la compétition individuelle de la franco-togolaise Clarisse Agbegnenou, vendredi 17 février au Grand Slam de Tel Aviv, a été perturbé par un conflit avec la Fédération française.
Le retour à la compétition individuelle de la franco-togolaise Clarisse Agbegnenou, vendredi 17 février au Grand Slam de Tel Aviv, a été perturbé par un conflit avec la Fédération française, en raison du choix de la judoka de concourir avec un kimono de son sponsor personnel.
La double championne olympique, Clarisse Agbegnenou, qui effectuait son retour après son congé maternité, s’est présentée sur le tatami avec un kimono de la marque Mizuno, alors que la Fédération française de judo a signé un partenariat avec Adidas.
En conséquence, la Fédération a décidé de la priver de son entraîneur référent en équipe de France, Ludovic Delacotte, pour la compétition
Selon les règles de la Fédération internationale, lorsque le kimono d’un judoka n’est pas réglementaire, celui-ci ne peut pas avoir son entraîneur à ses côtés pendant ses combats.
La Fédération française a donc décidé d’appliquer cette règle pour Clarisse Agbegnenou.
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