La réunion annuelle de la Banque islamique de développement (BID) s’est achevée la semaine dernière à Djeddah avec la signature d’un nouveau prêt de 9 millions de dollars en faveur de l’éducation supérieure.
Le portefeuille de la Banque au Togo est d’un peu plus de 400 millions de dollars.
Des financements qui ont permis de lancer des projets dans le secteur de l’eau, de l’assainissement, de l’agriculture, de l’énergie, des infrastructures ou encore de l’ingénierie.
Un appui essentiel qui se heurte cependant à un problème le taille, le retard observé dans le décaissement des fonds. Une situation de nature à retarder le lancement de certains projets.
Du côté de la BID, on explique ces délais par la nécessité d’obtenir des formulations claires quant aux différents programmes sous financement et leur impact futur.
Pour aplanir ces différences d’approche, des experts de l’Institut islamique de recherche et de formation (IIRF) et la direction générale de mobilisation de l’aide et du partenariat ont débuté mercredi une session de formation de trois jours sur ‘les évaluations des projets et programmes financés par la BID’.
‘Cette formation va permettre de disposer d’une expertise réelle. Les participants disposeront de nouvelles connaissances à partir des expériences du Groupe de la BID afin de faciliter la mise en œuvre des projets’ pour contribuer plus efficacement au bien-être de la population’, a expliqué Essobozou Awade, le directeur général de la mobilisation de l’aide.
Cette session de formation accueille les représentants des différents départements ministériels en charge des programmes financés par la Banque.